EDITO-SURVIVAL#35

A découvrir dans Survival #35

Edito Survival #34 : Tous en ville ?

l’échelle planétaire, les mutations des modes de vie à l’œuvre sont d’une rapidité et d’une ampleur qui donnent le tournis. Il y a 50 ans à peine, seul un tiers de la population mondiale était urbaine. Aujourd’hui, la moitié des individus de la planète habite dans une ville. En 2025, ce sera sept personnes sur dix dans le monde qui vivront en ville, allant même jusqu’à huit dans certains pays. Mais alors, que devient le monde rural ?

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A découvrir dans Survival #34

Edito Survival #34 : Tous en ville ?

l’échelle planétaire, les mutations des modes de vie à l’œuvre sont d’une rapidité et d’une ampleur qui donnent le tournis. Il y a 50 ans à peine, seul un tiers de la population mondiale était urbaine. Aujourd’hui, la moitié des individus de la planète habite dans une ville. En 2025, ce sera sept personnes sur dix dans le monde qui vivront en ville, allant même jusqu’à huit dans certains pays. Mais alors, que devient le monde rural ?

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A découvrir dans Survival #33

Edito Survival #33 : La coutume est plus sûre que la loi*

Le premier juin dernier a été déposée à l’Assemblé Nationale la proposition de loi numéro 4212 relative à l’encadrement du survivalisme et à la lutte contre les dérives et menaces associées. Ça y est, c’est dans le ventre de la bête, pour le meilleur et pour le pire serions-nous tentés d’ajouter. Mais faut-il légiférer sur tout ?

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A découvrir dans Survival #32

Edito Survival #32 : L’art de l’étiquetage

Nous recevons fréquemment des livres à la rédaction. Une de ces dernières lectures – un énième constat collapsolologique incluait le passage suivant : Dans une démarche non pas de survivalisme, mais d’autonomie vis-à-vis du système en place. Le mais en langue française est utilisé pour opposer un fait au précédent, d’où ma première surprise. Survivalisme = antagonique d’autonomie ? L’auteur qui n’a pas compris grand-chose à nos motivations poursuit : Là où le survivaliste agit de manière individuelle en défendant sa petite communauté, l’approche fondée sur l’autonomie implique de se tourner vers le collectif, l’entraide, par exemple la permaculture. Je vous laisse juger de la pertinence, de la mesquinerie et surtout de l’ineptie du propos.

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A découvrir dans Survival #31

Edito Survival #31 : Isolé, mais pas nécessairement lointain

Pour beaucoup, qualifier une zone de milieu isolé n’est pas adapté à la réalité géographique française. Ce terme étant plutôt à réserver pour les grands espaces américains, africains ou russes, entre autres. En réalité, certains endroits du pays peuvent transposer un individu en des lieux reculés de tout, et ce, bien plus vite qu’il n’y paraît. Hors réseau téléphonique, hors-piste goudronné et hors vue directe d’habitants sont autant de critères qui, cumulés, rendent une situation non désirée et problématique beaucoup plus difficile à gérer sans un minimum d’anticipation, de savoir-faire et de caractère. Nous nous sommes habitués à toujours plus de connectivité, de réponses immédiates à nos questions, à nos besoins, mais comment se préparer pour les situations dans lesquelles les délais de toute intervention, de toute nature, s’allongent au point de ne rendre une aide que potentielle et, en tous cas, très différée ?

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A découvrir dans Survival #30

De l’importance de ne (parfois) pas avoir d’avis.
Se construire un avis sur la multitude des sujets auxquels nous sommes exposés est une tâche complexe. Nous sommes continuellement amenés à devoir prendre parti pour ou contre. Couvre-feu, vaccination anti-Covid, immigration, grossesse pour autrui, port du voile, voiture électrique, nucléaire, éolien, etc., la liste est longue.